Comment vous est venu l’idée de créer Oé, toi et Fx l’autre cofondateur de la marque ?
Les deux cofondateurs souhaitaient contribuer à un monde plus durable. Thomas voulait servir une cause et Fx connaissait bien le secteur du vin. C’est ce que fait Oé aujourd’hui : proposer des bons vins qui respectent le vivant et surtout une sélection de vins d’appellations et de cépages pour les novices/amateurs que ce soit en ligne ou dans les rayons des magasins.
Quelle est la raison d’être d’Oé ?
On s’est donné pour mission (c’est inscrit dans nos statuts) de transformer l’agriculture, la consommation et l’entreprise au service du bien.
Dans quelle mesure Oé s’inscrit-elle comme une marque vertueuse et responsable ?
On milite sur plusieurs sujets à travers : Le réemploi des bouteilles, la diminution des déchets notamment via la logistique zéro déchet, la restauration de la biodiversité avec le Programme Oé, la création d’un nouveau modèle d’entreprise, la création de plaidoyers, propositions de lois et aussi en signant des pétitions sur l’écologie et la justice sociale, l’analyse de notre bilan carbone et des analyses du cycle de vie de nos bouteilles, la relation que l’on tisse avec nos vignerons : pas de négociation des prix (entre autres). Toute notre cohérence et consistance qui fait de nous une entreprise à mission et une B Corp.
En interne, chez Oé, la pollution numérique est-elle un sujet ?
Oui, on fait attention. Pour le moment on ne met pas plus d’actions en place que d’acheter reconditionné et de supprimer et trier nos mails. Mais on va y venir 🙂
Quels outils et plateforme utilisez-vous pour améliorer votre impact au quotidien ?
SAMI (entreprise qui réalise des bilans carbone) et CleanFox. On est aussi B Corp donc le BIA nous accompagne et nous guide bien.