Comme un vieux moteur diesel, la technologie des pièces jointes aux emails développée dans les années 70 et largement utilisée aujourd’hui, rejette des millions de tonnes de CO2 dans notre atmosphère. Des estimations récentes attribuent environ 19 g de CO2 (étude Bio Intelligence Service) générés à chaque e-mail contenant une pièce jointe. L’impact carbone résulte en grande partie des infrastructures nécessaires pour transmettre et traiter le message comme les data centers qui consomment de l’électricité pour stocker, transférer, traiter et analyser le contenu du message.
Comment envoyer vos fichiers volumineux en limitant votre impact carbone ?
C’est plus simple que vous ne le pensez. Les utilisateurs peuvent remplacer les pièces jointes par des liens de transferts de fichiers éco-responsables. Nous ne parlons pas ici de stockage cloud de type OneDrive, Google Drive ou encore Amazon. En effet, ces serveurs ne sont en rien alimentés par une énergie renouvelable.
Vous pouvez aujourd’hui envoyer vos fichiers via des liens temporaires gratuits FileVert. La fourniture d’un lien garantit la distribution directe des fichiers en évitant de stocker les pièces jointes, ce qui élimine la consommation de ressources et les émissions de CO2.
Susmentionnées avec les avantages supplémentaires de contenir la prolifération des données, de permettre le transfert de fichiers volumineux et de réduire les risques de sécurité et de gouvernance de l’information. Le service de transfert de fichiers privilégié par la DSI.
L’impact négatif des fichiers volumineux sur l’environnement
Bien que 19 g de CO2, soit moins que le CO2 d’une banane importée (80 g), puisse sembler peu en soi, ce qui rend finalement les pièces jointes si nocives, c’est le nombre qui est envoyé inutilement. Il est estimé que chaque professionnel ignore en moyenne 6 000 pièces jointes par an. La pratique courante des entreprises consistant à copier et partager inutilement des fichiers qui ne sont pas lus ; menaçant la sécurité des données, défiant la gouvernance de l’information et réduisant la productivité. L’employé de bureau moyen reçoit environ 144 messages non pertinents par jour, dont 24 % ont des pièces jointes.
Étant donné que chaque pièce jointe génère des émissions de CO2, nous pouvons facilement calculer que les pièces jointes non lues génèrent énormément de CO2 chaque jour pour chaque travailleur. Au cours d’une année, avec 261 jours de travail, l’empreinte CO2 annuelle des pièces jointes indésirables, non lues et ignorées crée environ 13.6 tonnes de CO2 ou près de 13 allers-retours Paris-New-York.
Pour plus de protection de l’environnement, FileVert utilise également l’énergie renouvelable et est engagé à tout instant dans la lutte pour la préservation de la planète.